« Dans l’île de Ré, ma belle adorée… »
Cette invitation est un hymne à la nature ! Une façon de vivre semble y rester authentique. Il est vrai que nous sommes en mars, le temps est mitigé. Claude Nougaro chantait : dans l’île de ré, ma belle adorée… Les cohortes de juillettistes et aoûtiens ne sont pas encore là ! (ouf) Nous visitons l’île d’un bout à l’autre en passant par Saint Martin en Ré bien sûr, la Couarde, Ars et Saint-Clément-des-Baleines. Nous poussons jusqu’au phare des Baleines et au-delà jusqu’à Trousse Chemise après une visite de Les Portes en Ré. Malgré un soleil voilé en ce début d’après midi, ça reste agréable. Nous en profitons pour faire une promenade dans la réserve ornithologique de Lilleau des Niges. Les oiseaux n’étant pas chassés, les conversations y sont animées ; ça piaffe dans tous les sens… Les petits villages déjà cités possèdent des venelles sinueuses et étroites. Les murs d’un blanc quasiment pur est de mise et les volets verts tranchent. Malheureusement les roses trémières ne sont pas là