Cette année, les vacances sont, disons, particulières ! Réduites, nous les passons à la maison. Aussi, je rebalaye mes photos et je tombe sur ces quelques clichés datant d’août 2015 sur Angles sur l’Anglin. Récapitulatif historique Sur les rives de l’Anglin, petite rivière sous-affluente de la Vienne, se trouve un village fortifié au doux nom d’Angles sur l’Anglin. On ne semble pas très bien connaître les origines de ce village. Il faudrait chercher du côté d’un peuple germanique dénommé les Angles. Ceci dit, à l’époque Angles ne portait pas ce nom. Par contre on trouve des traces humaines qui remontent à l’ère Magdalénienne. Les premières découvertes de la présence de l’Homme datent du début XXe. C’est dans l’abri Bourdois que l’on découvre une frise sculptée . Elle fait de ce village un des hauts lieux de la préhistoire au même titre que Lascaux.Pour revenir un peu plus près de nous, probablement construite au XIe, la forteresse, initialement défensive, évoluera vers une demeure plus renaissance suite aux actions de Hugues de

Entre Saint-Cirq Lapopie-Bouziès, les hommes ont creusé dans la roche ce chemin de halage. La finalité était de tirer les gabares chargées de victuailles ou de matériaux de toutes sortes. Ainsi vous découvrirez ce lieu et comprendrez la tâche pas toujours facile des hommes de l’époque surtout lorsqu’il fallait remonter le fleuve…Vous y verrez une sculpture de Daniel MONNIER, un bas relief original qui représente la rivière dans tous ses états.

Cette année, les Promenades Photographiques de Vendôme avaient comme thème « L’éloge de la lenteur ». Sous un soleil assez généreux, nous sommes donc allés voir cette exposition. Nettement moins grande que celle d’Arles, elle n’en demeure pas moins intéressante et surtout elle est proche de Paris. Pour cette édition, l’éloge de la lenteur était mise en exergue mais de quelle lenteur parle-t-on ? Je reconnais être difficilement rentré dans le thème. J’avais quelques difficultés à faire le parallèle entre le sujet et les photographes exposés. En creusant, il fallait le voir sous l’angle, me semble-t-il, où il faut prendre son temps pour construire un sujet, une série, sur quel médium avec quel développement. Le travail demande tout de même de la réflexion. Ceci en opposition aux photos publiées sur les réseaux sociaux qui elles capturent l’instant sans véritablement traitement ni recherche d’un thème structuré. Cependant, je voulais m’arrêter sur un photographe qui m’a particulièrement marqué et qui est peut-être assez peu connu : Lucien Legras. C’est un photographe pro mort trop

Près de Milly-la-Forêt, un imbroglio de ferraille est perdu au beau milieu de la forêt. C’est Cyclop ! Appelé aussi le Monstre ou la Tête, cette sculpture a été construite par le sculpteur Suisse Jean Tinguely et un collaborateur dénommé Niki de Saint Phalle. Cette œuvre débute dans les années 1970 et évolue à partir de 1991 vers ce que nous connaissons aujourd’hui. C’est très spéciale mais pourquoi pas ! L’art est là pour déranger et remettre en question ses préjugés !

Ce petit village de bûcherons est quasiment inconnu dans la première moitié du XIXe. Grâce aux peintres impressionniste, Barbizon deviendra un lieu de référence même encore aujourd’hui. A quelques kilomètres de Fontainebleau, le village se situe à l’orée de la forêt du même nom. Pourtant, à partir de 1850, son destin va évoluer avec l’arrivée de peintres en mal de nature. Sans entrer dans un détail que je vous laisse découvrir sur le net, des noms, et pas des moindre, vont y venir. Quelques grands noms de l’impressionnisme : Jean-François Millet, Théodore Rousseau, Jean Batiste Camille Corot ou encore Charles-François Daubigny y séjournent plus ou moins longtemps. Ils créent l’école de Barbizon qui sera officialisée en 1890. La renommée est telle qu’un petit train y arrivera vers la fin du XIXe. Un peu plus tard, la relève est assurée avec Claude Monet, Alfred Sysley ou encore Auguste Renoir ; rien que ça ! Il faut dire que le village est tranquille. Établi à l’orée de la forêt, il est facile